«Un héritage d'élégance: les bijoux d'une collection exceptionnelle» comprend plus de 60 pièces couvrant les années 1930 aux années 1990, en mettant l'accent sur les maisons de bijoux parisiennes, comme Cartier, Boivin et Boucheron, offrant une «lentille rare» sur Paris, a déclaré Sotheby's.
Il devrait gagner plus de 8 millions de dollars au total.
La collection a été assemblée au cours de plusieurs décennies, a indiqué la maison de vente aux enchères.
Au cœur de la collection se trouvent les bijoux des créateurs visionnaires de l'époque moderne Joel Arthur Rosenthal (Jar) et Suzanne Belperron.
Ces artistes ont changé le cours de la conception des bijoux au cours du siècle dernier «grâce à une imagination extraordinaire, à la maîtrise technique et à la confiance de Renegade», selon Catharine Becket, le chef mondial de Sotheby des bijoux élevés.
«Bien que créés à des décennies séparés, leurs bijoux étaient – et dans le cas de M. Rosenthal, continuent d'être – conçus pour ceux qui apprécient les non-conventionnels, les inattendus et, dans de nombreux cas, l'épanouissement de l'excentricité.»
Becket a poursuivi: «Ceci est un collectionneur qui, en possession d'une grande bourse et passion, s'est concentré sur les meilleurs exemples de toutes les formes artistiques, priorisant la rareté, l'originalité et le talent artistique superlatif.»
Un point culminant de la vente est un collier de pierre précieuse colorée et de diamant de Suzanne Belperron. On estime qu'il se vend 250 000 $ à 350 000 $.
Ce collier est l'une des plus de 20 œuvres de Suzanne Belperron dans l'offrande.
Fabriqué avec du topaze rose pastel et de l'quiamarine bleu frais, ainsi que de la Morganite et du diamant, la pièce illustre les combinaisons sans précédent de pierres et de minéraux et des contrastes de couleurs exceptionnelles que le designer était connue, a déclaré la maison de vente aux enchères.
Une variation des colliers de dossiers du concepteur, il présente des pierres précieuses à facettes et «une fluidité délicate de construction».
Le style sculptural et l'esthétique sculpturale et l'esthétique de la signature de Belperron sont visibles dans un autre article proposé – une chalcédoine et une manchette d'améthyste, qui devrait se vendre de 80 000 $ à 120 000 $.
Dans cette manchette, la confiance du Belperron se traduit par l'utilisation de matériaux peu orthodoxes et une esthétique presque masculine d'âge machine, a déclaré la maison de vente aux enchères.
Belperron était l'une des rares créateurs de bijoux et fabricants de son temps, a déclaré Sotheby's, créant des bijoux des années 1930 au milieu des années 1970.
Elle n'a jamais exploité de vitrine, en s'appuyant sur le bouche-à-oreille parmi sa clientèle, qui comprenait Elsa Schiaparelli, Diana Vreeland et la duchesse de Windsor, ainsi que d'autres familles royales, magnats financiers, stars hollywoodiennes et autres membres de l'élite intellectuelle et artistique.
La créatrice n'a jamais signé ses bijoux, connue pour sa déclaration: «Mon style est ma signature.»
Basée à Paris, elle a commencé sa carrière à René Boivin en 1919, restant jusqu'en 1932.
Une broche Boivin Sapphire et Diamond proposée montre «l'influence claire» de Belperron, a déclaré la maison de vente aux enchères.
Cette broche Boivin «Grenade» était autrefois dans la collection de goûts et collectionneurs de bijoux Daisy Fellowes, un passionné de Boivin qui a été attiré par des formes naturalistes et fantastiques.
La pièce, estimée à se vendre 40 000 $ à 60 000 $, appartenait autrefois à Daisy Fellowes (1890-1962), une mondaine française et une héritière de la chanteuse coudre la fortune.
La collection propose également plus de 10 bijoux de Jar, l'un des noms les plus puissants et les plus vénérés de la conception de bijoux aujourd'hui, selon Sotheby's.
Une paire de circuits d'oreille en diamant, estimés à 500 000 $ à 700 000 $, mène l'ensemble.
« L'échelle imposante de ces porte-oreilles en pot est contrée par la fragilité des branches dendritiques évoquant la nature éphémère du gel », a déclaré Sotheby's.
Ces porte-oreilles, ainsi que plusieurs des autres pièces de pot proposées, ont été exposés lors de l'exposition de l'artiste en 2002 au Somerset House de Londres.
Un designer d'origine de la ville de New York travaillant à Paris, Rosenthal est devenu «le mot d'étudiant pour l'ultime en art quasi-toachable dans les joyaux et les métaux précieux», a déclaré la maison de vente aux enchères.
Depuis qu'il a commencé à créer ses propres créations dans les années 1980, le designer a introduit une profondeur de sens, des couches culturelles, de la beauté et de la poésie et de l'idication qui, selon Sotheby, avait disparu dans de précieux bijoux depuis des décennies.
Ses créations sont connues pour être sur un autre monde, souvent surréaliste, considérées comme des œuvres d'art portables, et il produit moins de 100 pièces par an.
Rosenthal est le premier bijoutier vivant à avoir une rétrospective au Metropolitan Museum of Art.
Le musée l'a décrit comme un «artiste contemporain de Gemmes», connu pour sa sélection picturale de Color Gem, mélangeant des pierres pour créer des gradations subtiles ou une arrestation vibrante, a déclaré Sotheby's.
Ses trois broches «Wild Rose» proposées, estimées à atteindre jusqu'à 1,2 million de dollars au total, sont conçues comme des fleurs avec des pierres colorées centrées par des perles naturelles.
Ces broches en pot sont fabriquées avec des saphirs et des grenats roses et violets de haut en bas) (de haut en bas); citrines et saphirs jaunes; et des améthystes et des saphirs.
Sotheby a noté que Rosenthal pourrait être reconnu pour avoir déclenché une «révolution pavé», une technique maintenant considérée comme fondamentale à la conception des bijoux du 21e siècle.
